Jimmy, Montréal 2025!!!

Il y a 25 ans était créé Jimmy créature de rêve. Depuis présenté dans plusieurs villes de 17 pays, le spectacle solo est présenté à Montréal au théâtre Prospero, pour célébrer les 25 ans de sa création.

Billets ici:

https://theatreprospero.tuxedobillet.com/web/jimmy-creature-de-reve?axeptio_token=0qfcu66rib9nbijrgasv29q

Ce que la presse en a dit à l’époque:

  • Obscène, hilarant, inquiétant, évitant avec élégance toutes les facilités du one-(wo) man show, le spectacle de Marie Brassard nous rend au réel en plein rêve éveillé.

    Alain Dreyfus, Libération (France), 9 février 2002

  • Jimmy, dans son ambiguïté, est bien sûr aussi une métaphore du théâtre lui-même. La cohérence avec laquelle Brassard déploie cette image presque sans effort fait de Jimmy une grande pièce.

    Frankfurter Allgemeine Zeitung (Allemagne), 22 septembre 2005

  • Marie Brassard knows that a tiny gesture or half a line of text can suggest a world of meaning. With laconic, dry humor, a few theatrical tricks and a touch of postmodernism, she draws the audience into a series of Russian doll scenarios that circle onto themselves and are alternately claustrophobic and liberating. A world class, impeccable piece of theatre, not to be missed.

    Jon Kaplan, Now (Toronto), 15 décembre 2005

  • Marie Brassard est de la tribu des surréalistes; ses songes sont sa toile et on a hâte d’en être victimes.

    Alexandre Demidoff, Le Temps (Suisse), 7 septembre 2007

  • A Murky Dream World of Subconscious Characters… Marie Brassard’s one-woman show Jimmy is about the stuff of dreams — well, a dream figure, a recurring visitor in the nocturnal imaginings of a slumbering American Army general and an actress. Audiences may not readily comprehend the strange landscape of the unconscious that the play navigates, but the tall, braided Ms. Brassard is a captivating guide through an enchanting, if unsettling, realm.

    Andy Webster, The New York Times, 29 mai 2009

  • This is vital, world-class theatre not to be missed. Definitely the best thing I’ve seen this year.

    The Irish Times (Dublin)

  • Artists sometimes claim to be tapping the unconscious when they are actually bogging themselves down in patchy surrealism. But Brassard, an artist of rare gifts, makes good on the promise. She evokes dreaming’s borderlessness, its sense that no identity is ever entirely within our control […] Did it really end? The audience tiptoes out destabilized, worried they may be dreaming still

    Helen Shaw, New York Time Out

  • Her remarkable performance raises fascinating, existential questions about identity.

    The Age (Australie)

MACAO

Vers l’Asie. La fureur de ce que je pense à Macao dans quelques jours!

Photo: Michael Slobodian

Alors que Marie Brassard termine le tournage de son premier long métrage Le train, nous voici en route vers Macao.

PRIX SIMINOVITCH 2022

Marie Brassard, lauréate du prix Siminovitch, le plus prestigieux prix de théâtre au Canada (lire davantage en cliquant sur la photo)

Photo: Minelly Kamemura


Au Diamant à Québec, les 8-9 et 10 décembre

NELLY ARCAN - LA FUREUR DE CE QUE JE PENSE

Avec: Christine Beaulieu, Sophie Cadieux, Larissa Corriveau, Évelyne de la Chenelière, Johanne Haberlin, Julie Lebreton et Anne Thériault.

Prix Siminovitch 2022

Marie Brassard est honorée et ravie de partager cette nomination avec ces personnes formidables! Merci aux membres du jury et à la famille Siminovitch et félicitations à tous les nominés-es.

À MONTREAL !

A ne pas manquer, VIOLENCE. Encore 4 représentations d’ici dimanche.

Not to be missed VIOLENCE. Still 4 shows to go until Sunday. With English Subtitles!
https://usine-c.com/spectacle/violence

Image video: Shingo Ota, set design: Antonin Sorel, photo: Marlène Gélineau-Payette

VIOLENCE - ITALIE - JAPON

Le projet Violence sera créé au mois de mai en version anglo-japonaise à Düsseldorf, et en version franco-japonaise à Montréal, à l’Usine C dans le cadre du FTA. Il a été décidé que le décor sera construit à Bellaria en Italie, et que le contenu du spectacle sera développé avec nos collègues japonaises lors d’une double résidence d’une durée d’un mois au Japon, dans les villes de Kinosaki et Tokyo. Ce plan a été élaboré bien avant la nouvelle du Coronavirus et une partie de l’équipe se trouve déjà en Italie. La synergie entre les thèmes abordés dans le spectacle et les événements du réel est une sorte de clin d’œil de la réalité vaguement sinistre qui nous place dans une situation sur laquelle nous n’avons aucun contrôle. Il était prévu de documenter l’aventure sur Instagram et ici. Nous réaliserons ce plan tel que prévu. À partir de demain, suivez-nous dans cette extraordinaire aventure. 

Kinosaki program.jpg

Amsterdam, Limoges, La vie utile, Eclipse, Introduction à la violence ...

Nous avons été si occupés que la section nouvelles a été négligée. Nous revoici en 2020 déjà, avec le désir de mettre à jour plus fréquemment le site.

Depuis Madrid, il y a eu tant d‘événements. La présentation à Amsterdam de La fureur de ce que je pense, au ITA (International Theater Amsterdam), et à Limoges (Festival des Francophonies du Limousin) puis, la création du texte magnifique d’Évelyne de la Chenelière, La vie utile, d’abord à Espace GO, au printemps 2018, puis dans le cadre du FTA.

Puis, de multiples résidences de création à Marseille (Montevideo), Tanumshede en Suède (Vitlycke – Centre for Performing Arts) à l’invitation du Gothenburg Dance and Theatre Festival, à Montréal (Usine C).

Nous avons donné quatre représentations de Introduction à la Violence au printemps 2019 à l’Usine C. Ce spectacle, comme son titre l’indique, se voulait une introduction à notre prochaine création, intitulée Violence, qui sera présentée pour la première fois à Düsseldorf en mai prochain dans sa version anglaise, puis à Montréal fin mai-début juin, en version française (détails à venir).

Puis, à Montréal, créé le spectacle Éclipse, en coproduction avec le Théâtre de Quat’sous. Ce spectacle, inspiré par les écrits des femmes de la Beat Generation, est présentement à l’affiche.

Prochainement, nous serons au mois d’avril en résidence à Kinosaki, au Kinosaki International Arts Center (KIAC), puis, à Tokyo, au Morishita Studio, avant de terminer la création de Violence lors d’une résidence à Düsseldorf au Düsseldorfer Schauspielhaus / Central, au mois de mai. Des détails seront partagés sous peu en ce qui concerne la suite!

ENFIN EN EUROPE !!!

La fureur de ce que je pense (en français avec surtitres en espagnol)

À Madrid au Teatro Español les 13-14 et 15 avril

Acclamé par le public et la critique, le spectacle La fureur de ce que je pense, un collage de textes de l’auteure Nelly Arcan, réalisé et mis en scène par Marie Brassard, amorce une série de visites européennes. La pièce sera présentée à quatre reprises à Madrid, au magnifique Teatro Español. Musical, féminin, féministe, tragique et lumineux, La fureur de ce que je pense est une œuvre-hommage à l’écriture de Nelly Arcan. Plus que jamais pertinent, le spectacle hautement visuel et musical propose une immersion dans l’œuvre littéraire d’une femme intelligente, habitée et tourmentée dans son rapport avec son corps, avec les autres et avec la vie. 

Produit par Infrarouge, en coproduction avec le FTA (Montréal) et Parco (Tokyo). Pour en savoir plus, sur la pièce, visitez le site du Teatro Español:

https://www.teatroespanol.es/programacion/la-fureur-de-ce-que-je-pense

Magnifique Teatro Español, au coeur du vieux Madrid

Magnifique Teatro Español, au coeur du vieux Madrid

INFRAROUGE À TOKYO!

J’ai joué au Japon à quelques reprises dans le passé. Mais c’est la première fois que mon travail personnel, élaboré avec les meilleur(e)s collaborateurs dont on puisse rêver, sera présenté dans sa version japonaise à Tokyo, puis, en tournée à travers le Japon à Hiroshima, Kitakyushu, Kyoto et Aichi. Nous sommes ici depuis plus de cinq semaines déjà. D’abord avec Antonin Sorel(scénographie), et maintenant, Alexander MacSween (musique), Mikko Hynninen (lumière) et Catherine Chagnon (costumes) et notre directeur technique Mateo Thébaudeau. Nous sommes entourés d’artistes magnifiques et de collaborateurs japonais qui sont tous de remarquables êtres humains. Avec, constamment dans nos pensées, les artistes québécoises Sophie Cadieux, Julie LeBreton, Christine Beaulieu, Johanne Haberlin, Larissa Corriveau, Monia Chokri, Évelyne de la Chenelière et Anne Thériault.

La première aura lieu le 4 novembre. Seront en scène, les brillantes actrices Yasuko Matsuyuki, Sumire Ashina, Hiromu Kiriya, Eriko Hatsune, Hijiri Kojima, Yuko Miyamoto et la danseuse chorégraphe Miwa Okuno. Merci à Parco et à Misaki Mouri. 

Nous sommes extrêmement emballés par la version japonaise de ce travail et les nouvelles réflexions qu’elle générera à propos de l’écriture de Nelly Arcan et de la condition des femmes dans nos sociétés contemporaines.

Venez nous voir si vous êtes dans le coin et dites le à vos amis japonais.

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À TOKYO !

Depuis une semaine, enfin de nouveau à Tokyo, une de mes villes favorites, avec Antonin Sorel. Nous y serons jusqu’à la mi-novembre, dans l’aventure extraordinaire de créer la version japonaise du spectacle La Fureur de ce que je pense, autour d’un collage de textes de Nelly Arcan. Nous y sommes entourés d’artistes, femmes singulières à la fois si différentes et si proches de nous. Dans les semaines qui viennent, se joindront à nous nos collègues et amis Alexander MacSween, Mikko Hynninen, Catherine Chagnon et Mateo Thébaudeau. À cette occasion, le livre Putain sera publié à nouveau dans sa version japonaise et le film Nelly d’Anne Émond sera projeté à Tokyo. On vous tiendra au courant.